C’est avec beaucoup de plaisir que je vais vous présenter le Razer DeathStalker V2 Pro. En effet, je n’avais pas encore eu l’opportunité de tester un clavier low-profile et franchement, ce nouveau modèle m’a fait une excellente impression.
Qu’est-ce qu’un clavier low-profile ?
Un clavier low-profile est un clavier beaucoup moins épais qu’un modèle traditionnel. Qu’il s’agisse de l’épaisseur du châssis, des switchs ou des keycaps, tout est plus court en hauteur. Directement inspirés des ordinateurs portables, ces périphériques ont l’avantage d’avoir une meilleure ergonomie, mais surtout d’être dotés d’interrupteurs dont la course d’actionnement est plus courte que la moyenne. Il faut donc moins de temps pour les actionner, ce qui permet de gagner en performance. Ce matériel est dès lors parfait pour jouer à des jeux compétitifs demandant beaucoup de réflexes et de réactivité. Ajoutons à cela un confort de frappe hors du commun et on se retrouve face aux meilleurs claviers gaming du marché. Malheureusement, de telles performances ont un prix puisque ces claviers sont plus chers que les modèles classiques. Ceci étant dit, une fois que vous y aurez gouté, vous ne saurez plus vous en passer.
Razer DeathStalker V2 Pro, un clavier taillé pour la compétition
En plus d’être un modèle low-profile, le Razer DeathStalker V2 Pro est un clavier sans-fil, ce qui le rend d’autant plus intéressant lorsque l’on décidera de voyager avec. Qu’on aille jouer chez des amis ou que l’on se rende à une compétition esport, ce clavier super fin et son dongle se glisseront sans problème dans n’importe quel sac. Car oui, ce périphérique est bel et bien taillé pour la compétition puisqu’il est équipé de la technologie Razer HyperSpeed Wireless qui assure une réactivité in game à toute épreuve. De plus, le tout se marie assez bien avec ses interrupteurs optiques low-profile dont la hauteur d’activation est raccourcie pour réduire la course des touches. À noter que l’on pourra opter pour des switchs linéaires doux et silencieux ou des switchs sonores un poil plus précis. Dans les deux cas, l’expérience se voudra confortable et efficace.
Autonomie et connectivité
En plus d’être doté de la technologie HyperSpeed Wireless, le Razer DeathStalker V2 Pro bénéficie également d’une simple connexion Bluetooth. Il est donc possible de passer de l’une à l’autre très facilement afin d’optimiser au mieux sa batterie. À savoir qu’on n’a pas vraiment besoin de l’Hyperspeed quand on n’est pas en train de jouer. Que l’on surfe sur le net ou que l’on fasse un peu de bureautique, le Bluetooth suffit donc amplement. Ceci dit, l’autonomie se veut très correcte, et ce même si on n’utilise que l’Hyperspeed puisqu’avec la luminosité du RGB à 50%, on peut presque atteindre les deux jours d’utilisation. Cerise sur le gâteau, il est même possible de connecter d’autres appareils sans-fil de la marque Razer grâce au dongle du clavier, ce que je trouve vraiment génial si par exemple on possède déjà une Viper ou une DeathAdder.
La traditionnelle séance d’ASMR (version clicky)
Avis Razer DeathStalker V2 Pro
Qu’on se le dise, j’ai globalement été conquis par le Razer DeathStalker V2 Pro, et ce même si je trouve qu’il arrive un peu tard comparé aux modèles de chez Corsair ou Logitech. Car il y a fort à parier que tous les joueurs qui voulaient un clavier low-profile se sont déjà tous tournés vers la concurrence. Ceci étant dit, je suis certain que les fans de Razer y trouveront leur compte, même s’il faut reconnaitre que ce modèle n’est pas donné puisqu’il coûte environ 250 euros.
Mais quoi qu’il en soit, cette somme se justifie par des performances incroyables et des finitions aux petits oignons. Et pour cause, le châssis en aluminium de ce clavier est résistant tout en étant épuré et ses touches en ABS sont gravées au laser ce qui offre une durabilité hors du commun. D’ailleurs, signalons que ses interrupteurs optiques sont capables de résister à 70 millions de frappes, ce qui le rend encore plus attractif. Alors pourquoi s’en priver ?
Alors, vous le trouvez comment ce nouveau clavier low-profile ? Dites-nous tout dans les commentaires !
Johnny